Après les informations du magnétiseur, vous n’avez plus d’excuse de ne pas réagir contre les labos fous qui sont créateurs de super virus. En 2011, la grippe aviaire surgit. C'est un virus extrêmement pathogène qui a les capacités de tuer 50% des personnes infectées. Mais à l'époque, il manque au virus les caractéristiques nécessaires pour pénétrer les cellules humaines et se multiplier dans l'organisme, empêchant ainsi les transmissions d’homme à homme. La transmission de l'animal à l'homme, normalement impossible, débute pourtant. On dénombre quelques cas d'éleveurs contaminés. Il vaut mieux ne pas chercher à imaginer ce qui se serait passé si ce virus avait obtenu de telles capacités. Tous les êtres vivants, y compris les virus, peuvent évoluer à chaque nouvelle génération. Les scientifiques pensent que, pour les virus, ces changements sont de petites erreurs. En réalité, ce sont des mutations qui leur permettent comme n'importe quelle créature non seulement de survivre, mais de vivre mieux. Les virus ont en plus la chance que les humains jouent aux apprentis sorciers, ce qui leur permet d'avoir de nouvelles capacités comme entre autres de franchir la barrière des espèces. Cela permet ainsi aux virus d'infecter les cellules humaines alors que, au départ, ils étaient réservés à une certaine espèce animale. Le terme ironique employé par les scientifiques est « gain de fonction ». Le but inavoué est de pouvoir anticiper un « nouveau » agent pathogène plus dangereux et ainsi de créer le ou les vaccins avant même que l'épidémie ne se déclare. En 2014, une équipe de scientifiques japonais et une équipe de scientifiques néerlandais, associées, ont été heureuses de réussir à transmettre entre les furets des virus grippaux, H5N1 et H7N9. Heureuses, car, comme l'homme, lorsqu'ils sont malades, les furets éternuent et toussent. Et leur schéma de contamination est presque identique à celui des humains. C'est seulement à ce moment-là que certaines voix se sont fait entendre. Si une fuite provient d'un laboratoire, c'est une catastrophe assurée. En cause, la dangerosité des virus extrêmement mortels qui ont été modifiés par la main de l'homme uniquement dans le but de franchir la barrière des espèces. Malgré une probabilité d'accidents de 0,2% par laboratoire et par an, il y a eu 4 infections accidentelles par des virus dangereux dans des laboratoires de niveau 3 aux États-Unis. Ces informations ont été révélées dans un rapport en janvier 2014. Avec un petit calcul simple, nous pouvons déduire que le risque d'infection atteint 80% avec seulement 20 laboratoires sur 20 ans ! Et, ce qui est beaucoup plus amusant est que nous arrivons avec 25 laboratoires sur 20 ans à 100%.
Un magnétiseur ne peut pas accepter ces recherches
Ces expériences n'ont qu'un seul intérêt et un seul but : il s'agit de créer des armes bactériologiques, bien que les pays (dont la France) aient ratifié la convention d'interdiction des armes biologiques de 1972 (contre la recherche d'armes bactériologiques). Il suffit de cultiver un virus in vitro avec des cellules humaines pour créer artificiellement les mutations permettant au virus d'infecter la race humaine, technologie relativement simple. Idéalement, l'objectif est de pouvoir infecter une race ethnique et de préserver les autres. Les États-Unis, en 2014, à la suite d’un moratoire, ont décrété l'arrêt des expériences sur les gains de fonction sur le sol américain pendant 3 ans. Ces expériences ont pris fin au début de la présidence de Trump. Mais cela n'a pas arrêté les expériences à risque sur des virus à potentiel pandémique, cela a seulement servi à délocaliser vers des pays dont les réglementations sont moins strictes, voire inexistantes. Il n'y a malheureusement plus aucune limite. Si, en théorie, il existe encore des garde-fous, ils ne sont en aucune manière des limites. Par exemple, nous avons le cas du généticien chinois He Jiankui qui, en 2018, a modifié des génomes d'embryons humains dans le but de les rendre résistants au virus du sida. De ces expériences sont nées des jumelles, qui ont apparemment disparu. Ces petites filles ont bien eu des mutations de leur génome, mais pas celles escomptées et les conséquences auraient été imprévisibles. La pandémie de la COVID-19 est apparue 2 ans après la levée du moratoire américain qui a eu lieu en 2017. De nombreux spécialistes veulent l’arrêt de ces expérimentations sur les virus à fort potentiel de pathogénicité, car tous ne se voilent pas la face, ils savent très bien que ces recherches se font uniquement dans un but militaire et non dans le but d’essayer de prévoir les futures mutations des virus. Toutes les expériences scientifiques devraient soupeser les risques face aux bénéfices. Un ancien virologue de l'Institut Pasteur, Simon Wain-Hobson, explique : « On sait que les risques sont énormes et, dans le cadre de l'expérience sur les furets, les bénéfices (essayer de deviner les futures mutations des virus) sont en réalité très faibles ». Il est consternant que des personnes puissent faire croire qu'elles veulent anticiper le patrimoine génétique des virus de demain, engendré par la sélection naturelle en essayant de prévoir toutes les trajectoires évolutives possibles des virus. Ne vous inquiétez pas, le massacre ne fait que commencer. Pour preuve, la conception depuis ces dernières années d’outils de manipulation génétique dont l’un des plus connus est Crispr-Cas9.
La fermeture des laboratoires P4 est une priorité pour le magnétiseur Ludovic Carbone
Le laboratoire de virologie P4 de Wuhan a été vendu par la France à la Chine. Les travaux ont débuté en 2011, le bâtiment a été achevé en 2015 et inauguré en février 2017 par le Premier ministre Bernard Cazeneuve. Mais l'histoire commence en 2003, lorsque la Chine demande à la France de lui fournir un laboratoire P4. Le président de la République Jacques Chirac et son Premier ministre Jean-Pierre Raffarin donnent leur accord, mais la DGSE informe en juin 2004 les autorités françaises que la Chine voudrait construire 4 autres P4 militaires dans les 5 ans. S'ensuit une concession, Matignon autorise en 2004 l'exportation de 4 laboratoires mobiles P3 en Chine, qui ont disparu depuis et, le 09 octobre 2004, Jacques Chirac lors de sa visite en Chine signe un accord intergouvernemental. Depuis 2013, en France, la DGA (Direction générale de l'armement) dispose de son propre P4 à Vert-le-Petit dans l’Essonne, mais depuis 1999, la France a un P4 à Lyon. À l'époque, nous faisions partie des pays à la pointe dans ce domaine. Nous avons des échantillons de virus « les fameuses souches infectieuses ». Les États-Unis disposent de plusieurs P4 militaires.